Avant tout, plantons rapidement le décor et les conditions de test. La demeure, considérée basse énergie, possède des murs à l’épreuve du wifi et autres signaux hertziens. En l’état, il est quasi impossible d’avoir une communication téléphonique correcte à l’intérieur et le bureau des plaintes est surchargé par les incidents de Wifi signalés par Tsunami (9 ans presque et demi) fervente utilisatrice de Netflix HD. Chaque étage dispose d’un range extender ou d’un point d’accès, la b-box étant dans le garage. Magnifique environnement pour tester un range extender qui se présente comme « Strong ». Let the game begin…
Présenté dans une boite au design pseudo-futuriste, on découvre une mini (5×5 cm) boite noire pourvue de trois petits voyants, bonne nouvelle, la maitresse de maison ne remarquera même pas sa présence, en tout cas visuellement. L’emballage contient un petit câble RJ-45, la notice d’utilisation et le câble d’alimentation. Jusqu’ici, rien de surprenant, du classique efficace.
Branchée (RJ-45) façon entrecôte minute, le wifi apparait directement, on se réfère à la notice et, là, mini déception, pas de QR code pour se connecter directement. Petit détail qui élimine immédiatement Ouragan (presque 7 ans) de l’équipe d’installation, elle qui se faisait un plaisir de scanner, cliquer, etc… Rien de bloquant, on scanne en vitesse le réseau, l’IP identifiée, on lance l’interface web et là frisson, aucune authentification n’est requise pour pénétrer dans le router / extender… étrange (affaire à suivre) car la notice fait mention d’une obligation de log-in via la password repris sur le router (matériel de test reconditionné).
Dilemme d’entrée de jeu, choisir entre le mode repeater ou access point. Pour votre plus grand plaisir et l’exhaustivité du test, votre dévoué testeur et son équipe de choc (Tsunami et Ouragan) vont prendre en compte toutes les configurations possibles.
Le salon, haut lieu de la vie familiale, est actuellement très mal desservi par le signal Wifi, la superficie n’excède pas les 50m² mais ce pauvre signal doit franchir 2 murs porteurs et 1 murs isolés façon maison basse énergie. Résultat, au mieux, on capte deux barres sur cinq. Impossible donc de streamer un film en SD et ne parlons pas de la HD saccadée qui rendrait un moine bouddhiste épileptique.
Sans repasser par la config de base, nous allons passer Strong en mode repeater. Petit hic, ce mode exige de disposer d’un signal d’au moins 3 barres (signal correct selon l’application). On déplace, enfin Tsunami déplace, Strong de quelques mètres et, là, tambours et trompettes, on arrose instantanément la pièce avec un Wifi pleine puissance. Il ne reste plus qu’à tester les taux de transfert. Comparativement (à position identique dans la pièce), on passe d’un faible 20 Mbits/sec sur le wifi de la b-box à un très agréable 60 Mbits/sec après l’installation de Strong en repeater. Match remporté haut la main.
D’entrée de jeu, on apprécie le double port RJ-45 Gigabit, ce qui permet de placer Strong sans devoir sacrifier une prise RJ-45 murale, on adore ! Simplement car la majorité des repeater / access point n’en sont pas équipés !
On repasse très rapidement dans la configuraton et on diffuse un signal wifi surpuissant. Tsunami ne s’en laisse pas compter, elle décide d’emmener le OnePlus Two de papa au milieu du jardin pour vérifier. C’est donc assise au milieu du jardin qu’elle démarre son épisode préféré des Pokemon en HD via Netflix, on ne la reverra que vingt minutes plus tard, le sourire au lèvre et un Oneplus Two brulant en main.
Pour situer, on ne parle pas ici d’un vrai NAS avec fonction DLNA mais bien d’un access point / repeater qui dispose du nécessaire (port USB et Interface) pour simuler ces fonctionnalités. Si c’est disponible sur la machine, autant le tester.
Dubitatif au départ, je dois reconnaitre avoir été bluffé par ces fonctionnalités. En quelques secondes, on branche la clé USB de Tsunami et Ouragan, quelques clics dans l’interface web et une minute montre en main plus tard, « La reine des neiges » hurle son fameux « libérée, délivrée » sur la Smart TV du salon. Sans vérifier à la seconde près, je pense que le server DLNA de Strong a été plus rapidement détecté que le D-link familial. On imagine facilement les amis qui passent à la maison, en coup de vent, avec le film de leurs exploits au tournoi du « Knokke-Kite-Surf-Mojito-Bieres-Spéciales » qui pourra être rapidement branché sur Strong, indexé en quelques millisecondes (oui, oui vraiment) et diffusé sur la smart TV. Extrêmement bien vu de la part du fabricant en sachant qu’un relai wifi est toujours accessible là où il est branché, on adore !
Strong est un vrai poids lourd. Le Wifi surfe sur tous les standards 2.4 ou 5 Ghz et propose donc une compatibilité complète sur les « b, g, a, n, ac, d, e, i ». La face arrière de Strong offre une connectique simple composée d’un port USB 3.0 indispensable pour la fonctionnalité NAS, une alimentation et deux ports Ethernet Gigabit. Point de vue fonctionnalités, Strong est 100% compatible Airplay, son interface permet la mise sur pieds d’un server DLNA en quelques clics et son programme interne permet la création de réseaux Wifi Multiples montés de manière « symétrique » entre le 5 et 2.4Ghz
Si vous cherchez un repeater ou un accesspoint, Strong apparait comme une excellente solution clé en main facile à mettre en place. Si à cela vous ajoutez les caractéristiques techniques de haute voltige telle que la puissance du Wifi et les deux ports Gigabit et finalement les bonus du type DLNA et Airplay, vous obtenez un quasi « maître achat » qui s’est défendu bec et ongles lors du test. Cherry on the cake, votre portefeuille ne se verra ponctionné que de 129.99€ (Amazon) pour le modèle de test, une belle victoire par KO.
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