Nicolas vous en parlait il y a peu, pour marquer l’inauguration de sa boutique en ligne en Belgique, Google a organisé un événement dans ses bureaux, le quatre octobre à Bruxelles. Nous avons eu la chance de tester les nouveaux produits de la marque avant leur sortie le douze octobre. Dans cet article, je me concentre sur la Pixel Watch 2, une montre “au service de votre santé, de votre sécurité et de votre productivité”, du moins c’est ce que dit Google.
Depuis le rachat de Fitbit par Google en 2021, ces deux grands noms de la tech collaborent pour donner un souffle nouveau au suivi de notre santé et de nos activités sportives.
Tout le monde connaît et / ou utilise Google, et j’en suis une fervente utilisatrice. À la maison, j’ai adopté un Google Nest Hub (Gen 2) et j’utilise au quotidien les applications Google (Drive, Gmail, Calendar, etc.). Pourtant, l’idée d’acquérir un smartphone ou une montre Google ne m’a jamais vraiment séduite. Étant tombée dans l’écosystème Apple il y a plus de quinze ans, je ne voyais pas ce que Google pouvait m’apporter de plus. C’est pourquoi, lorsque Nicolas m’a proposé de tester la montre et le Pixel 8 (dont je vous parlerai dans un autre article), j’ai sauté sur l’occasion, curieuse de découvrir si j’allais changer d’avis.
À l’ouverture de la boîte du Google Pixel Watch 2, mon enthousiasme était immédiat. L’emballage est soigné, le contenu organisé et mis en valeur (à l’instar des produits de la marque à la pomme) et bien protégé, créant instantanément une impression positive. J’y trouve la montre, un bracelet supplémentaire de taille L, le câble de recharge rapide USB-C, ainsi qu’un guide de démarrage rapide.
La Pixel Watch 2 est tout simplement magnifique, avec son écran arrondi et un design réussi, à la fois sobre et chic. Bien que rappelant (très) fortement la 1ère génération de la Pixel Watch, cette nouvelle version est sublime.
Le modèle que nous avons reçu à tester est dotée d’un boîtier en aluminium champagne doré et d’un bracelet sport vert sauge (qui selon moi ressemble davantage à du gris, mais c’est un détail). Son boîtier en aluminium recyclé mesure 41 mm de diamètre sur 12,3 mm d’épaisseur, et ne pèse que 31 g. Le bracelet en fluoroélastomère est à la fois robuste et agréable au toucher, avec une fermeture astucieuse qui permet à l’extrémité du bracelet de se glisser en dessous de celui-ci (bien plus pratique que les bracelets des concurrents), évitant ainsi les accrocs indésirables. Cette caractéristique est pratique tant pour les activités sportives que pour un usage quotidien.
Pour les amateurs de spécifications techniques, sachez que, la Pixel Watch 2 est équipée d’une puce Qualcomm 5100, d’un coprocesseur Cortex M33, d’un stockage flash eMMC de 32 Go, de 2 Go de mémoire SDRAM, et fonctionne sous le système d’exploitation Wear OS 4.0. Son écran AMOLED de 320 ppp offre une qualité exceptionnelle, avec une luminosité élevée allant jusqu’à 1 000 nits. Enfin, le verre de protection est en Corning Gorilla Glass 5.
Pour les moins geek d’entre vous (et moi), voici quelques explications sur ce que cela implique, et pourquoi mon admiration perdure à la lecture de ces caractéristiques.
Sur papier c’est très beau, et dans la réalité c’est testé… et validé (sauf concernant l’autonomie) ! Assez parlé des détails, passons au test.
Comme je l’expliquais, nous avons reçu à tester les smartphones Pixel 8 et Pixel 8 Pro. J’étais enchantée à l’idée de pouvoir comparer la rapidité d’appairage de la montre avec un téléphone Google et avec mon iPhone. Ma joie a été de courte durée quand j’ai réalisé que les produits Google ne sont compatibles qu’avec Android. J’ai donc “dû” troquer mon iPhone pour le Pixel 8 et me suis plongée dans le l’univers Google, afin de profiter pleinement de toutes les fonctionnalités de la montre.
Malgré une prise en main rapide grâce au smartphone de la marque, la Pixel Watch 2 nécessite deux applications : ‘Watch’ pour jumeler la montre au téléphone et en gérer les paramètres (cadrans, préférences de la montre, accessibilité, …) et ‘Fitbit’ se concentre sur le suivi des statistiques de santé et de fitness.
L’apparaige avec le Pixel 8 est fait en moins de temps qu’il faut pour le dire, manquerait plus que ça (oui, je peste toujours d’avoir dû mettre au placard mon iPhone est mes habitudes d’utilisation).
Je configure rapidement la Pixel Watch 2 dans son application dédiée et m’empresse d’aller re-découvrir l’app Fitbit. Je dis “re-” car je suis tombée dans le monde des montres connectée il y a quelques années avec la Fitbit Alta HR. J’avais adoré l’application, simple à utiliser et enrichissante, m’aidant à suivre mes activités quotidiennes. Ça, c’était avant de découvrir la richesse des stats que proposent d’autres marques. J’étais donc très curieuse de voir l’évolution apportée à Fitbit, avec quelques années de bouteilles supplémentaires, mais surtout suite à son rachat par Google.
Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de l’interface, mais l’utilisation de l’application est toujours aussi fluide et facile. Je scrolle et découvre des fonctionnalités qui n’existaient pas. J’aime déjà !
Je m’amuse ensuite à parcourir les menus sur la montre grâce à la couronne rotative qui sert à naviguer entre les applications. Le bouton adjacent, permet d’accéder aux applications récemment utilisées. Facile et pratique.
L’appairage établi, je peux sortir pour une première activité sportive, arborant fièrement la Pixel Watch 2 au poignet.
Avant de vous parler de la montre Google, il est important que je vous avoue que je fais des infidélités à mon Apple Watch pour les activités sportives. Je suis tombée sous le charme de la Huawei GT Runner que je trouve très facile d’utilisation, contrairement à l’Apple Watch, et assez complète point de vue statistiques, pour moi, sportive amatrice. J’ai des habitudes bien ancrées, ce qui est intéressant pour ce test car tout est différent.
Prête à me lancer dans ma première course avec la Pixel Watch 2, je peine à trouver le démarrage rapide d’une activité sportive. Je remarque que, outre la fonction “activités” de Fitbit, sont également installées par défaut sur la montre, des applications telles que C25k, Hole 19, Komoot, My Fitness Pal, Nike Run Club, Running, Strava. Ce choix trop complet peut troubler les néophytes, comme moi.
L’application Fitbit trouvée, je sélectionne le mode course (parmi les 40 autres sports proposés), et je démarre. Je ne paramètre rien pour ce premier essai.
Le premier point ultra positif, c’est l’ergonomie et le poids plume de la Pixel Watch 2 (48g au total) qui me font oublier que je porte une montre lors de ma course.
Ce n’est clairement pas aussi complet que chez Garmin ou Huawei en matière de sport, mais ce n’est pas non plus l’objectif principal de cette montre.
Comme je le disais, je suis une sportive « amatrice », et n’ai pas besoin d’une myriade de statistiques. Je retrouve celles que j’apprécie et qui m’intéressent pour évaluer mes courses: le tracé de l’activité sur une carte, la durée de l’activité, la distance, l’allure moyenne, l’allure par tour, le dénivelé.
De façon plus détaillée, on retrouve le rythme cardiaque, à travers un graphique retraçant l’activité. D’habitude, je ne regarde pas les pulsations en détail, et n’ai pas “besoin” de données ultra précises, mais lors de ma première sortie, alors que je portais simultanément une autre montre que nous testions, j’ai remarqué une différence importante au niveau du rythme cardiaque.
Matyas, le fils de Nicolas, athlète passionné de course à pied, possède une ceinture pectorale, qui lui offre des statistiques précises. Comme Google promet des résultats précis grâce à ses trois nouveaux capteurs, je lui ai demandé d’en vérifier l’exactitude en la portant lors d’un de ses entrainements, pour comparer les chiffres. Les données ne sont pas 100% identiques, mais la différence est minime, donc je trouve ça assez positif.
Parlons quelques instants du GPS. Dans la partie caractéristiques techniques de la montre, je retrouve l’info suivante : GPS, GLONASS, BeiDou, Galileo, Quasi-Zenith Satellite. Pour faire court, il s’agit de système de positionnement par satellite américain, russe, chinois, européen et japonais.
Lors de sorties sportives, la connexion au GPS se fait instantanément (à croire que le GPS est constamment allumé), que ce soit en zone dégagée ou en pleine ville. Pour la précision du tracé, lors d’une sortie sur un chemin dégagé (quelques arbres, et maison basse) c’est très bon. Dès que ça se densifie un peu, ça ne fait pas mieux que certaines montres de sport qui nous font passer à travers les bâtiments.
En matière d’entrainement, j’aime le fait de pouvoir choisir le mode en fonction de l’objectif fixé. Entrainement en zone de fréquence, à l’allure, selon une distance.
Je remarque que certaines données importantes (selon Matyas et moi) manquent à l’appel et me demande s’il existe une WebApp, plus complète peut-être, à l’instar de Garmin. Je ne vous raconte pas mon excitation quand j’ai découvert qu’il en existe une. Je m’empresse de confronter mes envies à la réalité mais mon enthousiasme retombe vite car ce n’est pas beaucoup plus détaillé. On ne va pas se mentir, l’application n’est clairement pas comparable à celle de Garmin, mais je trouve déjà très honorable d’en avoir mis une, afin d’avoir une vision globale de mes données et statistiques sur grand écran.
Quelques données manquent donc toujours à l’appel. Matyas regrette l’absence du calcul du VO2 max et de la stamina ; j’y ajoute la donnée le temps de récupération. J’aurais également apprécié la possibilité d’importer un parcours GPX. Ce n’est pas une montre sportive à proprement parlé, donc je ne parle même pas des recommandations d’entrainement. Si vous cherchez une montre sportive, ce n’est pas vers la Google Pixel Watch 2 que vous devez vous tournez.
Je précise encore que c’est de l’application dédiée, Fitbit, dont je parle ici ; d’autres, citées plus haut, le font peut-être mais je ne les ai pas testées.
Je le disais, la Pixel Watch 2 n’est pas une montre “sportive”. Elle se positionne plutôt comme votre alliée au quotidien en matière de santé, de sécurité et productivité.
Et c’est ce qu’on remarque au travers de l’application de Fitbit dans laquelle nous retrouvons des infos et données sur :
Je vous laisse admirer les captures d’écran de l’interface principale (personnalisable à souhait), et je vous parle ensuite plus en détails.
Dans les indicateurs de santé nous retrouvons des données sur la fréquence respiratoire (FR), la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC), la fréquence cardiaque au repos (VCR), la température cutanée et la saturation en oxygène (SpO2). Les données sont intéressantes, et peuvent aider à déceler quelques anomalies, qui pourraient vous amener à consulter un médecin pour des tests officiels. Afin de collecter les données nécessaires à certaines analyses, il est demandé de porter la Pixel Watch 2 la nuit. Elle est tellement légère et fine que même ceux qui, comme moi, n’aime pas dormir avec une montre, ne la remarqueront pas.
La fréquence cardiaque au repos est assez précise. Depuis quelques jours un médicament qui peut provoquer une légère hausse du rythme cardiaque. On voit clairement le moment après la prise de médicament sur les graphiques, et ça, pour un suivi sur la santé, j’apprécie.
J’ai adoré le fait qu’on pouvait également réaliser un calcul de l’ECG en touchant du doigt la couronne rotative pendant trente secondes. Encore une fois, ce n’est pas un dispositif médical, mais c’est un indicateur intéressant. Bémol de mon côté, sur cinq essais seuls deux ont réussis, les trois autres étaient “non concluants”, aucune idée du pourquoi.
Lors du premier jour de test, et avant même que je n’ai eu le temps d’analyser toutes les fonctionnalités de la montre, j’ai eu l’occasion d’essayer en situation réelle la fonction “stress”. J’ai eu une petite altercation avec quelqu’un, ce que la montre a détecté, car j’ai reçu une notification quelques minutes plus tard, me signalant que la montre avait perçu une “réponse du corps” entre 10h32 et 10h35. J’ai pu indiquer comment je me sentais à ce moment-là. J’ai trouvé ça très drôle et précis à la fois. Le but étant bien évidemment de vous aider à identifier les signes potentiels de stress et à réagir immédiatement. C’est génial, mais en réalité, la notification ne parvient qu’environ 10 minutes après le moment de “stress”, le calme est donc déjà potentiellement revenu.
La fonctionnalité pleine conscience est intéressante, car elle propose de programmer des moments de pratique d’exercices de méditation, de séances de respiration guidées, … Mais la majorité est accessible avec un compte premium payant. L’achat de la Pixel Watch 2, vous donne accès à six mois d’abonnement à Fitbit Premium gratuit. Ça vaut la peine d’essayer, sous peine d’en devenir accroc !
L’analyse du sommeil est toujours compliquée à évaluer pour moi. Je souffre de problèmes de fatigue et d’un sommeil non réparateur depuis des années, donc les données ne me paraissent jamais probantes. La Pixel Watch 2 ne m’a pas convaincue plus que les autres. J’ai obtenu un score “bon” de 83 % après une nuit atroce à cause de nombreux réveils et une agitation importante (dixit Nicolas). Le score étant basé sur ces 2 variables, ainsi que sur le rythme cardiaque, c’est étonnant. Tout aussi étrange, en me réveillant le matin, la montre indiquait qu’il était 7h30 alors qu’il était en réalité 8h30. Heureusement, c’était dimanche ! Bref vous l’aurez compris, après avoir testé cette fonctionnalité, j’en suis retournée à mon habitude de dormir sans montre.
Enfin, pour ce qui est de la fonctionnalité “Nutrition”, je ne l’ai pas testée à fond, parce que ce n’est pas mon objectif actuel, mais il est possible d’encoder tous vos repas. J’apprécie qu’on puisse scanner le code-barre afin de retrouver un aliment et l’ajouter rapidement à a sa consommation du jour. Après avoir essayé sur plusieurs produits, je remarque que la moitié de ce que j’ai dans mon frigo n’est pas référencés (du lait, de la sauce Heinz, …). Un bon point pour le suivi, mais à perfectionner.
Les montres connectées c’est aussi et à la base, un smartphone au poignet. La Pixel Watch 2 possède un micro et un haut-parleur intégré, ce qui vous permet de recevoir et de passer des appels directement depuis votre poignet. La qualité est bluffante, aussi bien de mon côté, que de celui de Nicolas à l’autre bout du fil, qui n’a pas remarqué la différence de son.
La Google Pixel Watch 2, c’est également la réception de notifications diverses (SMS, Whatsapp, Messenger, etc) auxquelles il est possible de répondre directement sur la montre grâce à des emoji, l’assistant vocal, ou le clavier (un peu petit pour de gros doigts – pas les miens bien sûr).
J’aime l’accès rapide à mon calendrier Google, à mes contacts, au chronomètre, alarme, et toutes les applications “basiques” que je retrouve sur mon smartphone.
Celle qui m’a séduite, et qui mérite plus de détail, c’est l’accès à l’appareil photo. Les options sont très complètes ; je peux choisir le mode (portrait, vidéo, vision de nuit, …), la caméra à utiliser (avant ou arrière), et d’utiliser ou non un retardateur. Mon Apple Watch offre aussi quelques fonctionnalités mais la Pixel Watch 2 est mieux fournie et m’a davantage convaincue.
Si vous êtes un adapte comme moi du paiement sans contact, la Pixel Watch 2 possède le “Google Wallet”. Il est très facile d’utilisation puisqu’il vous suffit d’appuyer deux fois sur la couronne. Ce qui m’ennuie, c’est que, pour pouvoir utiliser Google Wallet il faut activer le déverrouillage constant de la montre par code, pas seulement lors de l’utilisation de Google Wallet. Si le verrouillage n’est pas activé, il ne sera tout simplement pas possible de lancer l’application de paiement. Je comprends l’idée de sécurité, mais sur d’autres montres (la Garmin de Nicolas par exemple) il est possible de ne pas activer le verrouillage de la montre, mais d’entrer un code que lors de l’utilisation du moyen de paiement, ce que je trouve bien plus pratique.
Et enfin, il y a bien évidemment la fonction “Hey Google”, qui est très pratique pour certaines choses, mais qui est difficile à utiliser quand on est à la maison, à cause de tous les appareils Google que j’ai chez moi et qui se mettent en route tous en même temps. Cela provoque un drôle d’écho qui a fait rire mes enfants les 2-3 premières fois, mais qui devient vite agaçant !
Avec la montre à mon poignet, je me suis sentie en sécurité constante. La santé et le bien-être, ça passe aussi par la tranquillité d’esprit. Plusieurs fonctions sont activables et paramétrables.
Il existe par exemple un minuteur, que vous pouvez régler quand vous sortez de chez vous. Celui-ci partage ensuite votre position avec un contact et, si cette personne reste sans nouvelle à la fin de ce minuteur, l’appel d’urgence est activé.
Il y a également la “balise de détresse” (partage de position, de niveau de batterie à vos contacts), le partage de vos informations médicales, la détection de chute, et le SOS d’urgence.
Testée et approuvée, la “détection de chute”. Lors d’une sortie en trottinette, j’ai dérapé sur une chaussée glissante et suis tombée lourdement. En me relevant (rapidement mais un peu secouée), j’ai senti une vibration à mon poignet, la Pixel Watch 2 me demandait plus d’informations. J’ai dû indiquer si j’avais chuté, et si oui, si j’allais bien ou si j’avais besoin d’aide. Je n’ai pas poussé le test jusqu’à appeler les secours, mais j’ai été agréablement surprise que cela fonctionne et soit si “facile” d’utilisation. Je vous rassure, la montre et moi allons bien.
Pour le SOS d’urgence, c’est un peu plus complexe. Il faut appuyer 5x sur la couronne latérale pour lancer un appel aux services de secours. J’ai dû m’y reprendre à deux fois, parce ce qu’il faut appuyer assez rapidement. Je doute de la facilité à poser ce geste en cas d’extrême urgence, et j’espère ne jamais devoir vous prouver que ça fonctionne.
La Pixel Watch 2 est équipée d’une batterie lithium-ion de 306 mAh. En mode “Always-on”, elle offre une énooooorme autonomie de … 24 heures. Voyons le positif, cela permet au moins de passer la journée sans besoin de recharge. Pour moi qui suis habituée à une Apple Watch SE qui ne tient pas plus longtemps, ça me va. Mais c’est sûr qu’en comparaison avec d’autres montres connectées, qui tiennent jusqu’à quatorze jours, on ne comprend pas comment ce n’est pas faisable pour un géant comme Google. Lors de la conférence de presse, Nicolas avait d’ailleurs posé la question, sans réponse probante de l’expert Google.
En ce qui concerne le temps de charge, d’après le constructeur, il faut environ 80 minutes pour obtenir une recharge complète. Comme je retire en général ma montre la nuit, et la charge à ce moment-là, ça ne me pose pas de souci.
J’ai tout de même voulu pousser la montre jusqu’au bout, en désactivant le mode “Always-On” et en la portant en continu pendant 1 journée et 1 nuit. Au réveil, après un peu plus de 24h, je n’avais plus qu’une petite vingtaine de pourcents.
Avant de sortir pour une séance de jogging, j’ai mis la montre à charger en prenant mon petit déjeuner, elle a gagné 21% en 17 minutes, ce qui est tout à fait honorable et suffisant pour que mon entrainement soit enregistré.
En résumé, même si l’autonomie n’est clairement pas le point fort de cette montre, le temps de charge restreint pour gagner quelques pourcents de batterie sauve la mise.
La Pixel Watch 2 est disponible à partir de 399 euros. Cela grimpe à 449€ pour le modèle 4G-LTE. Le prix est à mes yeux trop élevé d’une centaine d’euros par rapport à la concurrence.
MAIS, si vous précommandez le Pixel 8 pro (sur le store de Google), vous recevez la montre gratuitement ! Et si vous optez pour le Pixel 8, vous obtenez une belle réduction de 229 euros sur la montre.
Vous l’aurez compris, cette Pixel Watch 2 de Google offre beaucoup de positif, et seulement quelques bémols, avec lesquels, je pourrais vivre. Les plus frustrants pour moi sont l’incompatibilité avec mon iPhone, et son autonomie limitée.
Dans les multiples avantages, je note l’expérience de suivi de la santé et du bien-être améliorée grâce à sa collaboration avec Fitbit et la grande tranquillité d’esprit procurée grâce à ses fonctionnalités d’urgence.
J’adore aussi son élégance sobre, sa légèreté et son magnifique écran AMOLED courbe.
Mais la montre n’est pas qu’un outil de suivi de la santé, elle sert également de smartphone au poignet. Elle permet de passer des appels, d’accéder à des applications musique, calendriers, prendre des photos, … renforçant ainsi sa polyvalence.
Son prix la positionne dans la gamme supérieure des montres connectée, mais les offres de précommande avec les smartphones Pixel 8 et Pixel 8 Pro offrent des avantages intéressants.
En résumé, la Pixel Watch 2 est un choix séduisant pour ceux qui recherchent une montre connectée élégante et polyvalente, avec une forte orientation vers le suivi de la santé au quotidien, une intégration fluide dans l’écosystème Google, et une esthétique haut de gamme. Alors que des améliorations pourraient encore être apportées, cette montre offre déjà une expérience convaincante pour un public varié.
Toutes les photos sont disponibles sur Google Photo. Crédit photo : Nicolas Varga. Test par Audrey Dricot.
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