Introduction
Lorsqu’en février, j’ai reçu à tester la montre Huawei GT 3, j’ai repris la bonne habitude de bouger davantage, de recommencer le vélo d’appartement (à faible intensité) et à surveiller mon alimentation. La Huawei GT 3 avait eu un effet bénéfique sur ma santé en général, mais ça n’était pas suffisant.
C’est alors que le destin s’en est mêlé. Audrey et moi avons été invités par Garmin pour participer aux 20km de Bruxelles. Il nous a fallu une semaine de réflexion (afin de mesurer l’implication sportive, alimentaire et du mode de vie) et un rapide test de course en salle avant de donner notre réponse. C’est Audrey qui a été la plus motivée et qui m’a encouragé à relever ce défi, “courir les 20km de Bruxelles avec seulement 9 semaines d’entraînement”.
À ce moment, je ne me sentais pas capable de courir 20km, ni 5km, ni même 2km. Mon niveau de course à pied était nul. Mais une fois l’invitation acceptée, il était trop tard pour revenir en arrière, et ce n’était pas plus mal. C’était le début de notre entraînement.
Matériel d’entraînement
Comme mon équipement était vétuste, j’ai commencé par m’acheter des vêtements de sport et une paire de chaussures de course. Pour mon accompagnement sportif, j’ai utilisé la montre Huawei Watch GT 3 et son application Huawei Santé.
N’ayant aucune expérience en course, j’ai lu une demi-douzaine de magazines de running dans l’application Cafeyn. Ça m’a permis d’en savoir plus sur les erreurs à ne pas commettre, de valider les conseils d’entraînement du running coach Huawei et d’adapter mon alimentation.
Bilan de santé
Avant de me remettre au sport grâce à la Huawei Watch GT 3, en février, mon poids était de 81,5kg pour 1m79. Ma balance connectée Withings me donnait un âge vasculaire de 42-46 ans (j’en ai 41). J’étais choqué de constater à quel point ma condition physique était mauvaise et de ne pas m’en être rendu compte. Je voyais, extérieurement, que j’avais quelques kilos en trop, mais découvrir les mesures internes, était encore plus interpellant. Pour maximiser nos chances de réussite pour les 20km, il était impératif de modifier notre alimentation.
Premier entraînement
Bien que je sois inscrit à un club de sport depuis 8 mois, comme beaucoup, je n’y allais plus après quelques semaines. Afin de débuter mes entraînements de course en vue des 20km, je voulais d’abord m’entraîner sur tapis, car je désirais que le rythme me soit imposé et les chocs sont moins violents pour les genoux.
Mon premier “vrai” entraînement de course date du 24 mars, lorsque nous avons reçu l’invitation de Garmin. Les résultats ont été sans équivoques. Mon allure était équivalente à de la marche rapide (9min/km), mais surtout, j’avais l’impression de suffoquer à chaque pas. Malgré ça, j’ai réussi à tenir 34 minutes (dans une semi-agonie) ce qui était déjà un exploit. Bien que l’application Huawei Santé indique un stress d’entraînement faible, il m’était conseillé 11 heures de repos (il me fallait minimum ça pour m’en remettre) ! Au lieu d’être démotivé par cette contre-performance, ça m’a donné la hargne de m’entraîner.
Entraînement en salle
Après avoir lu tous ces magazines et sites web, j’en ai conclu qu’il existait une myriade de techniques d’entraînement. J’ai décidé de suivre le coaching de la montre Huawei, car le programme s’adaptait aux données qu’elle enregistrait. Je savais, grâce à un précédent test, que l’analyse de l’effort n’était pas d’une exactitude stupéfiante, j’ai donc suivi ces conseils avec précautions.
En revanche, j’ai suivi à la lettre les conseils d’entraînement de Huawei. Mon niveau s’améliorait vite, c’était encourageant, même si j’étais encore très loin de mon objectif.
Premières erreurs
Me sentant pousser des ailes, j’ai cessé de respecter les temps de repos conseillés par le coach Huawei. À force de courir trop souvent, des douleurs apparaissaient aux genoux. J’ai alterné la course avec des entraînements au vélo d’appartement, moins stressant pour les genoux, mais parfait pour le cardio et la perte de poids.
Nous avons profité d’être à la mer du nord à Pâques pour nous entraîner sur la plage à marée basse. Je pensais que le sable dur serait un excellent amortisseur pour les genoux. Au contraire, ils doivent compenser l’instabilité du sol et souffrent énormément. Après 40 minutes de course, une douleur est apparue du côté droit. J’ai tout de même fait une sortie le lendemain, ce qui n’a fait qu’empirer les choses. J’ai arrêté de m’entraîner pendant une semaine pour me reposer, mais j’ai continué à faire du vélo d’appartement pour améliorer mon endurance.
Résultat après quatre semaines d’entraînement
Après un mois d’entraînement, j’avais perdu 2kg, mon cardio était meilleur et mon âge vasculaire était descendu à 38-42. Mes pulsations cardiaques avaient drastiquement baissé autant au repos qu’à l’effort. Malgré une fatigue physique liée à l’entraînement, je me sentais plein d’énergie et mieux dans ma peau (et dans mes vêtements dans lesquels je rentrais à nouveau).
Première course
Comme les 20km était un objectif trop éloigné, nous avons décidé de participer à une course de 6km, 3 semaines avant les 20km de Bruxelles. Ça nous servirait à mesurer nos performances en extérieur et à nous familiariser avec la course en groupe.
Alors que nous avions orienté notre entraînement pour 20km, nous l’avons adapté à notre course de 6km (qui est en réalité 6,6km). Autant le but des 20km est de terminer en un morceau et sans marcher, autant pour les 6km, je visais un chrono honorable. Nous avons commencé à courir dehors pour nous familiariser à la course en extérieur. L’effort est totalement différent, les sensations et les muscles travaillés aussi, mais quel plaisir ! Afin de connaître le parcours et les difficultés « du relief », nous l’avons courue quelques fois les semaines précédentes, ce qui nous a mis en confiance pour le jour J.
Pensant que notre niveau n’était pas bon, nous avons décidé de partir en fond de peloton ce qui s’est révélé être un mauvais choix tactique. J’ai marché les 400 premiers mètres et trottiné les 600 mètres suivants. Compenser 1km au “ralenti” sur une course si courte n’est pas facile. La course s’est mieux déroulée qu’espéré, j’ai fini en 38 minutes, mais surtout, j’étais à peine fatigué. Sans la foule et en gérant plus intelligemment mon effort, j’aurais pu faire 30-32 minutes. Cette course nous a mis en confiance pour les 20km qui approchaient à grands pas.
Après 2 mois d’entraînement
Le 24 mai, après 2 mois d’entraînement, je me sentais beaucoup mieux physiquement, j’avais perdu 3kg supplémentaires, mon âge vasculaire est descendu à 35-39 ans, mais je n’avais pas l’impression d’être capable de courir 20km. J’arrivais à courir à une allure de 5min/km pendant une heure, mais pas plus.
Comme pour la première course, nous avons jugé utile de nous familiariser avec le parcours, et avons effectué les 7 derniers kilomètres (incluant la fameuse dernière montée de l’avenue de Tervuren – pour ceux à qui ça parle). À la fin, je me sentais bien, mais je relativisais, ça ne représentait qu’un tiers du total de la course !
Afin de planifier notre effort, nous avons analysé le reste du trajet sur Komoot et l’avons parcouru à vélo (électrique). C’est fou comme 20km sur un écran d’ordinateur ont l’air plus courts qu’en réalité !
Récit de la course
Je démarre dans la 5ème vague, je savais qu’il y aurait du monde, mais pas à ce point. Lors du départ, c’est l’horreur, embouteillage pour sortir du parc et à l’arrêt pendant 3 – 4 min.
À cause de la cohue, le 1er km se fait à une allure de 7’15/km au lieu de mes 5’00/km habituels. Je me dis qu’au fil des kilomètres, la foule va s’estomper… c’est sans compter les coureurs des vagues précédentes que je commence à rattraper.
La course est encombrée jusqu’au premier tunnel de l’avenue Louise où cela devient encore pire. Nous marchons pendant plusieurs minutes. Dans chaque tunnel ça coince et slalomer entre les coureurs est fatiguant et casse le rythme. Je comprends alors qu’aller chercher 2 heures va être compliqué.
Dans le bois de la Cambre, les routes sont plus larges, je peux accélérer, mais mon pouls augmente anormalement malgré mon effort constant. Je décide de ralentir et de prendre un Aquarius que je sirote sur plusieurs km. La descente vers la place Wiener est agréable, je peux récupérer des forces pour attaquer la 2ème partie de la course. Mon corps passe en mode automatique, je ne ressens aucune fatigue, je gère ma vitesse en fonction de mon pouls. Le boulevard du Souverain est étroit, ça bouchonne de nouveau et les douleurs aux genoux apparaissent.
Poussé par la foule, je ne craque pas dans la montée de Tervuren (pas si longue, mais éprouvante avec 17km dans les jambes). J’ai très mal aux genoux et aux hanches (sans doute lié à un manque d’entraînement sur béton). Au rond-point Montgomery, malgré la douleur, je décide d’accélérer. À l’entrée du parc, je jette mes dernières forces et augmente mon rythme à 5’00/km.
Je termine finalement en 2h12. Je suis déçu, car j’aurais pu faire mieux avec moins de trafic, mais heureux de l’avoir fait ! Rendez-vous l’année prochaine pour un meilleur résultat.
Conclusion
Afin de réussir ce défi « De 0 à 20km en 9 semaines », je devais pousser mon corps dans ses derniers retranchements. Pour y arriver sans prendre de risques, je voulais un maximum de données précises sur mon corps et c’est là que la montre Huawei Watch GT 3 m’a aidé. En plus de fournir des chiffres sur mon entraînement (cadence, nombre de pas minute, longueur de foulée…), j’avais un suivi de santé très détaillé : pouls, temps de repos, fatigue…
Le succès de ce défi ne repose pas spécialement sur cette montre, mais il y a grandement contribué. J’aurais probablement pu le faire avec d’autres montres de cette qualité, mais la Huawei Watch GT 3 est tombée à point nommé. Le Running Coach Huawei sportif est très efficace, il m’a construit un programme d’entraînement selon mes préférences pour arriver au résultat demandé. Avec ma condition physique de départ, je ne pensais pas que j’y arriverais en si peu de temps. Je remercie Huawei de m’avoir prêté la Huawei Watch GT 3 et GT 3 Pro (les deux dernières semaines) qui m’ont accompagné durant mon entraînement.
La réussite de ce défi relève aussi énormément du mental, mais je n’y serais pas arrivé sans Audrey, ma compagne. Elle me motivait les jours où je me sentais fatigué et m’accompagnait malgré sa fatigue. Sans son aide, je n’y serais pas arrivé.
Je remercie également l’équipe de Garmin pour leur invitation, élément déclencheur de cette aventure incroyable, d’une nouvelle passion (je me suis déjà inscrit à l’Urban Trail Bruxelles de 12km dans 1 mois) et de leur hospitalité lors de cet événement. Nous avons été bichonnés du début à la fin ; accueil sur le stand privatisé pour la remise de nos dossards, t-shirts personnalisés, ravitaillement gargantuesque avant et après la course.
Que du bonheur pour cette première édition des 20km.
Toutes les photos sont disponibles sur Google Photos.
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