Comme son titre l’indique nous allons passer en revue le petit monde (qui devient grand) de la simulation automobile plus communément appelée simracing. Tout d’abord il y a lieu de scinder les vraies simulations des jeux dits d’arcade. Certains joueurs ne sont pas d’accord que leurs jeux soient catalogués dans la catégorie arcade alors que pour eux il s’agit d’une simulation. Nous comparerons donc les jeux/simus mais pas que.
Le matériel ou le matos comme aiment si bien dire les joueurs, qu’à partir de maintenant nous appellerons “pilotes”, car ils aiment ça, est aussi un élément primordial et vous verrez que si certains débutent avec un budget modeste de quelques centaines d’euros, d’autres peuvent engloutir des sommes folles dans leur passion …mais ce sont des passionnés !
Cet article pourra s’adresser aussi bien au débutant qui se sent un peu perdu dans le choix de matériel mais aussi aux pilotes plus chevronnés. Vous trouverez également tout au long de cet article différents liens qui pourront vous être utiles.
A tout seigneur tout honneur, nous allons commencer par parler de iRacing qui est « la » simulation par excellence. Certains vont vous dire que c’est cher et ils n’ont pas tort, d’autres vont parler de difficultés de pilotage, mais les vrais passionnés de simulation automobile vont vous dire que lorsqu’on y a goûté il est très, très difficile de retourner en arrière. Ce n’est pas pour rien que beaucoup de pilotes irl (In Real Life) tels Max Verstappen, Lando Norris et tant d’autres se retrouvent sur les pistes, le plus souvent en F2, avec monsieur Tout-le-monde.
Sur l’image un peu plus bas vous pouvez apercevoir « ma » Formule 2 au look Ferrari F1 et ce pour vous montrer la beauté des voitures sur iRacing. Certains pilotes irl y viennent pour rouler, se défouler, d’autres pour apprendre des circuits qu’ils ne connaissent pas car ils vont prochainement avoir une course sur ces circuits.
Lorsque l’on s’inscrit à iRacing nous devons payer un abonnement, qui est toujours à -50% pour une nouvelle inscription et dont le prix va tourner autour des $50 TTC, donc le double pour un renouvellement. Ceci est le prix d’un abonnement annuel mais d’autres formules sont possibles. A cette somme vont venir s’ajouter le prix des voitures et des circuits. Pour acheter une voiture il vous faudra débourser $11,95 et $14,95 pour un circuit. Vous remarquerez que je parle en $ et non pas en € car cette simulation est américaine. Non, vous ne trouverez pas de version française, et donc maîtriser la langue de Shakespeare est un atout, comme dirait l’autre dans une offre d’emploi.
Après avoir fait griller votre Mastercard vous recevrez tout une série de voitures et de circuits, aussi bien pour la Road, l’Oval, le Dirt Road et le Rallycross.
Vous vous apercevrez très rapidement que vous n’irai pas loin avec ce colis cadeau de bienvenue. En effet, pour faire une « saison » dans une catégorie il vous faudra acheter au moins une voiture afin de rouler dans la catégorie qui vous plaît mais aussi les circuits et en sachant qu’une saison dure douze semaines et qu’on change de circuit chaque semaine je vous laisse à votre calculette. Ah oui j’oubliais, il y a quatre saisons sur une année …
Il y a aussi des catégories de pilotes, le Rookie lorsque vous débutez, puis vous passerez D, C, B, A … et il y a aussi les Pro et Pro WC mais ça c’est un autre monde.
Il y a un système de points ir (irating) et sr (safety rating). L’ir déterminera votre vraie valeur en termes de rapidité et de résultats tandis que le sr indiquera si vous êtes un « pilote propre » Autrement dit un pilote C 2.70 avec un ir de 2000 sera plus rapide qu’un A 2.90 qui en a 900. Vous me suivez ? Pas simple au début mais on s’y retrouve très vite.
Pour être à peu près complet il faut aussi savoir que certains sites proposent des setups pour différentes voitures en fonction des circuits. C’est bien entendu payant …
Donc pour abréger si je puis dire, les avantages de iRacing sont les circuits laser scannés, la physique des voitures, et le réalisme de cette simulation. Les défauts sont qu’il vous faudra très souvent passer à la caisse et que leur système de classement du pilote n’est pas toujours unanimement apprécié car même si vous faites une course propre et qu’un autre pilote vous met dans le mur ou vous accroche vous perdrez tous les deux des précieux points.
iRacing ne se trouve pas sur les consoles mais sur un PC qui ne doit pas être survitaminé mais avoir surtout une bonne carte graphique surtout si vous voulez jouer en VR (réalité virtuelle).
Et après comme dirait Régis Laspalès : c’est vous qui voyez !
Bien que datant aussi d’il y a quelques années, cette simulation vient se placer juste derrière iRacing.
Cette simulation est téléchargeable à partir de la plateforme Steam au prix de 3,99 €.
Beaucoup plus abordable au point de vue financier, même si de nombreux DLC (contenu téléchargeable) payants ou non, sont souvent proposés au cours de l’année, Assetto Corsa reste une valeur sûre aussi bien sur PC que sur consoles. L’approche est beaucoup plus simple mais ici les pilotes ont l’avantage de pouvoir bénéficier du modisme.
Quel est ce mot bizarre ?
En fait ce n’est pas un effet de mode mais une communauté qui crée des versions personnelles de voitures et de circuits existants mais aussi des nouveaux. Ce contenu est téléchargeable sur certains sites et ce de façon entièrement gratuite. Certains modèles sont très réussis, d’autres moins. Comme chaque simulation Assetto Corsa bénéficie d’une importante communauté avec divers forums et pas rien qu’en anglais !
La physique des voitures est également très bonne et les circuits excellents. Bref, je crois que pour débuter, cette simulation est idéale et ce afin de voir si le simracing vous plaît mais surtout sans avoir à trop investir.
Le petit dernier de la famille Kunos-Simulazioni dont les bureaux se trouvent sur le circuit de Vallelunga près de Rome.
Cette simulation, bluffante au niveau graphique et physique, mais assez lourde pour votre PC, est basée sur le championnat GT, (ex Blancpain Séries), le célèbre horloger suisse s’étant retiré à la fin de la saison 2019.
Egalement téléchargeable à partir de Steam pour la modique somme de 15,99 € elle ravira les amateurs du genre. Des contenus DLC sont régulièrement proposés et ACC est aussi disponible sur consoles.
Si je vous dis que rFactor 2 est l’opus suivant rFactor, vous me croyez ? Cette simulation bénéficie également d’une frange de fans qui ne jurent que par elle.
Téléchargeable à partir de Steam pour la somme de 29,99 €, elle est également assez réaliste mais est plus une « usine à gaz » que Assetto. Il paraît qu’une fois que l’on maîtrise l’affaire c’est une très bonne simu. Je ne vais pas vous en parler plus en longueur étant donné que je n’y ai jamais touché. Comme vous l’aurez peut-être deviné je suis un inconditionnel de iRacing depuis des années et si vous roulez sur cette simulation, qui plus est en team, il ne vous reste plus de temps pour faire autre chose !
Pour les amateurs de rallye, il existe également de quoi faire avec des jeux/simus tels que Dirt Rally 2, WRC 8 ou Sébastien Loeb Rally et j’en passe. Tous sont téléchargeables sur Steam et ici aussi la bagarre fait rage entre les pro Dirt et les pro WRC, un peu comme les Harley et les Gold Wing. Si vous aimez le rallye je vous laisse tester car ces jeux ne sont pas chers et très bien faits avec pour certains la voix d’un co-pilote qui vous guide au mieux pour éviter les ravins et les arbres ! La seule chose qui est impérative est de posséder un frein à main.
En ce qui concerne les bons jeux de course, vous avez RaceRoom, Automobilista2, Project Cars 2, Kartkraft pour les amateurs de karting mais aussi les grands classiques de la série F1 (PC et consoles) et aussi les must have pour les amateurs de consoles, à savoir Gran Turismo, Forza, Forza Horizon, et j’en passe.
Je vais vous parler également des équipements nécessaires, ou pas, en fonction de votre implication, de votre passion mais surtout de vos moyens.
En effet, si certains jouent à la manette sur console, il faut avoir un minimum de matos pour être performant et ressentir la fameuse immersion. Donc, l’achat d’un volant et d’un pédalier est à prévoir.
D’accord me direz-vous mais ce volant on va le poser sur quoi ? Bonne question !
Si certains se contentent de le fixer sur un bureau avec devant soi une télé ou un écran et une chaise de bureau ou de gaming, le pédalier reposant par terre, d’autres vont s’équiper d’un châssis. Soit un DIY (do it yourself), soit un profilé qui a l’avantage d’être évolutif ou alors d’un all in one c’est-à-dire une structure le plus souvent en acier avec un siège baquet inclus ainsi qu’un support écran, volant et pédalier. On pourra aussi y ajouter un support clavier, un repose PC ou console, un support shifter et/ou un frein à main.
La majorité va opter pour le châssis en profilés car il est totalement modulable. On doit savoir qu’il existe aussi des châssis montés sur vérins, sur lesquels une ceinture de sécurité est conseillée. Ici vous voyez un châssis monté sur vérins, le pilote jouant avec un casque de réalité virtuelle.
Il va sans dire que de quelques centaines d’euros on peut arriver à des sommes dépassant les 100 000 € (oui vous avez bien lu et il n’y a pas un zéro de trop).
La simu c’est un peu comme le vélo. Vous pouvez avoir le meilleur des vélos mais si vous n’avez pas les jambes ça ne sert à rien. En simracing on a tendance à dire que le problème se situe entre le baquet et le volant …
Nous allons passer en revue les différentes marques, du moins les principales, en matière de châssis, bases, roues (volants), pédaliers et autres périphériques de pilotage.
En premier lieu le châssis. Pourquoi ? Car si vous êtes mal assis ou positionné vous n’allez pas performer. Je vais volontairement passer ici le joueur occasionnel assis dans son fauteuil devant sa télé, grande ou petite, et sa console. Pour ceux qui préfèrent Microsoft et Xbox c’est bien et pour ceux qui préfèrent Sony et la PS 4 ou 5 c’est bien aussi. Je ne vais pas me mêler de ce que je n’ai, et par conséquent je ne connais pas.
En ce qui concerne les châssis et mis à part les DIY, voir plus haut pour ceux qui ont suivi, il y a les all in one du type RSeat ou plus abordable le Playseat mais avec l’inconvénient d’avoir une barre entre les jambes, ou alors Obutto, Oplite, Next Level … J’en passe tellement l’offre est grande.
On en vient aux châssis en profilés, ce que je vous conseille car c’est abordable, modulable et évolutif.
Disons qu’il y a 3 marques qui se …démarquent. En premier lieu je vais citer le plus bas de gamme, n’en déplaise à nos amis français, il s’agit de la marque Motedis, certes la moins chère des 3 mais aussi la moins « soignée ».
La raison est simple. Motedis est une usine à vocation industrielle et pour qui le simracing est un accessoire, aussi il ne faut pas vous attendre à recevoir un matériel super bien emballé et exempt de griffes à moins d’avoir de la chance.
En second lieu je vais citer JCL qui se trouve le long de la Seine à Paris et qui propose le meilleur matériel mais aussi le plus cher. Celui qui sait se payer du JCL ne le regrettera pas.
Enfin, mon coup de cœur, la marque sim-lab qui est une usine basée en Hollande à une heure de Bruxelles et dont la qualité est quasi équivalente à JCL avec le double avantage d’être beaucoup moins chère et d’être proche pour un enlèvement et ainsi éviter les fdp.
Si le cœur vous en dit et si vous aimez ça, rien ne vous empêche de pousser une petite pointe jusqu’en Zélande (30’) et de revenir chez vous avec un châssis et des moules pour madame. Enfin, point non négligeable, Richard le boss de sim-lab est super sympathique et très généreux quand vous lui rendez visite (sur rdv). Petit détail, il ne parle que néerlandais ou anglais.
En entrée de gamme, je passe ici les jouets, nous avons Logitech avec un matériel fiable et abordable financièrement et ses classiques G25, G27 (même s’ils sont vieux) et G29/920.
Vient ensuite la gamme Thrustmaster que l’on va qualifier de gamme intermédiaire mais un débutant peut évidemment démarrer avec ce genre de matériel car encore assez abordable. L’écosystème T300 a fait ses preuves depuis longtemps et reste une valeur sûre. Ici on parle de bases, ou moteurs, sur lesquels viendront se fixer divers modèles de roues (volants) et on pourra aussi y ajouter des pédaliers, des freins à main ou des shifters.
Après nous montons d’un cran pour entrer dans la gamme du fabricant allemand Fanatec certes beaucoup plus onéreuse mais aussi d’une qualité supérieure. Longtemps décriée pour son SAV à deux vitesses, il faut bien avouer qu’ils se sont bien améliorés dans ce secteur.
En plus de ses très bonnes bases CSL déclinées en plusieurs modèles et pouvant être adaptées également aux consoles, il faudra bien lire les descriptifs, l’usine allemande a sorti il y a 2 ans ses tout premiers DD, appelés comme vous ne l’imaginez pas DD1 et DD2. C’est quoi un DD ? C’est l’abréviation de Direct Drive. C’est aussi un autre monde dans le simracing.
Sans entrer dans les détails purement techniques, ce n’est pas le but de cet article, je vous dirai simplement que pour les bases dont nous avons parlé jusqu’ici la puissance du moteur était transmise par des engrenages ou des courroies ce qui n’est plus le cas avec les DD car les volants sont directement fixés sur le moteur même, souvent avec l’aide d’un QR (Quick Release). Le QR est un petit adaptateur qui permet de changer de roue ou volant sans avoir à dévisser quoi que ce soit, un peu comme les pilotes de F1 mais pas que. Avec les DD nous parlerons d’une puissance en Nm. Ils sont tellement puissants que des Kill Switch sont prévus par les fabricants. Un Kill Switch est un petit boîtier d’arrêt d’urgence qui permet de stopper le moteur du DD en cas d’urgence et est parfois très utile si on ne veut pas avoir les poignets brisés par le volant. Il va sans dire que si l’idée vous vient d’acheter un DD vous ne pourrez pas le fixer sur n’importe quel châssis et dans ce cas un profilé est le plus indiqué.
Fanatec a sorti un bundle comprenant un DD1 ainsi qu’une roue F1 au prix de 1 799 €
En ce qui concerne les DD, la firme finlandaise (ne vous laissez pas piéger par le .be) simucube a mis sur le marché 3 modèles de DD, le plus puissant des 3, l’Ultimate, culminant à plus de 3 000 €.
Il va sans dire que si vous l’achetez, vous n’aurez « que » ce moteur dans la boîte et il faudra encore passer au comptoir pour les volants et autres pédaliers. Il est bon de savoir que si la plupart des utilisateurs de DD vont rouler sur PC, les « consoleux » pourront également en bénéficier moyennant parfois certains adaptateurs, sauf chez Fanatec en fonction des modèles. Je ne vous parlerai ici que de ces deux marques car c’est déjà assez compliqué comme ça de s’y retrouver et ce surtout pour les novices.
Le plus simple est d’aller sur le site du fabricant et vous verrez toutes les possibilités qui s’offrent à vous, et elles sont nombreuses, pour adapter tel volant sur tel moteur et faire tourner des volants X sur des bases Y
Les roues constituent une passion chez le pilote. Il y a les F1, les GT, les tulipés, celles en cuir ou en alcantara.
Ici aussi il y a roue et roue. Si vous avez des beaux petits modèles dans les gammes grand public, certaines roues peuvent être de véritables bijoux.
Je prends pour exemple la firme italienne Cubecontrols qui produit des roues d’une extrême beauté et d’une qualité incomparable, avec un logiciel dédié, certes pas données, mais possède aussi un SAV de qualité supérieure.
Sur la photo vous pouvez admirer leur dernière Formula CSX 2 qui coûte 1 500 €
Pour vous donner un exemple, l’année dernière j’ai eu un léger souci avec ma roue. Je leur écris un mail avec une petite vidéo et 3 jours après j’ai un courrier DHL au bas de mon immeuble qui prend la roue et me la rapporte une semaine plus tard et ce sans avoir
à sortir un €. Inutile de vous dire que cela ne se passe pas toujours comme ça avec certaines sociétés.
Certaines firmes espagnoles font également des beaux produits mais dans la plupart du temps il faut être patients. Faites également attention si vous achetez auprès de sociétés sud-américaines, américaines ou australiennes car si parfois les prix sont attractifs n’oubliez pas que vous aurez des frais de douane en rapport avec la valeur de l’objet acheté. Cela devait être dit.
Bon, on parle de moteurs, de volants mais de temps en temps il vous faudra aussi freiner. La devise « pas plus vite qu’à fond » est bonne, mais …
Chez Fanatec vous avez la possibilité de rester dans leur écosystème avec divers pédaliers qui viennent directement se plugger à la base mais vous pouvez également combiner avec d’autres marques dont la plus populaire est Heusinkveld. Cette société hollandaise connue pour son sérieux et la qualité de son matériel nous propose des pédaliers hauts de gamme.
Ces pédales peuvent être commandées à l’unité, ainsi le pilote qui ne roule qu’avec des palettes au volant pourra acheter la pédale d’accélérateur et celle de frein. Libre à lui s’il le désire de venir compléter son pédalier en faisant l’acquisition de la pédale d’embrayage si un beau matin il décide d’acheter une boîte à vitesse. Heusinkveld fourni également des fàm (freins à mains), des shifters et autres accessoires de toute aussi belle qualité.
Encore une fois, il n’y a pas que cette société hollandaise mais je vous parle d’elle car c’est la plus connue. Il y a aussi la maison espagnole bjsimracing qui propose également du beau matériel et il y en a aussi d’autres mais je ne vais pas toutes les citer.
De toute façon si vous accrochez au simracing vous les découvrirez par vous-même, et c’est tout aussi bien.
Il y a également des pédaliers hydrauliques avec entre autres la société belge simtag qui est basée sur le circuit de Zolder dans le Limbourg et qui propose de très beaux, et bons, pédaliers hydrauliques pouvant atteindre les 3 000 € .
Il existe également, pour être complet, des pédaliers full pneumatiques mais comme je vous l’ai dit plus haut, vous allez découvrir tout ça par vous-même ainsi que tous les périphériques qui existent tels les boîtes à boutons, les afficheurs, les systèmes de ventilation (si,si) ou encore les cartes son, les body shaker que l’on place sous le baquet pour avoir des vibrations et j’en passe.
Comment ne pas parler des écrans qui sont également un des éléments essentiels pour une belle immersion. Pour faire simple, vous avez ceux qui roulent devant une télé (derrière on ne voit rien) et les gens qui préfèrent des écrans PC allant du classique 27 pouces au fameux 49 pouces Odyssey G9 de Samsung qui vous coûtera environ 1 500 €.
Beaucoup de pilotes préfèrent une configuration triple écrans pour une meilleure immersion et ils n’ont pas tort, d’autres encore préfèrent tourner avec un casque VR vissé devant les yeux. La VR est effectivement une bonne alternative aux écrans mais elle évolue tellement vite qu’il est difficile de conseiller un matériel … ainsi que le PC qui permette d’avoir une belle résolution. En effet si celle-ci est tributaire d’un bon casque, elle l’est également d’un PC du genre bête de guerre car il faut une fameuse carte graphique ainsi qu’un très bon CPU hautement cadencé pour faire tourner la VR avec fluidité. Les casques eux-mêmes peuvent aller de 300 à 3 000 €. Veillez toutefois, si vous portez des lunettes, à acheter un modèle qui puisse convenir.
Je m’en voudrais de ne pas parler du marché de l’occasion qui est très présent dans le monde du simracing car de nombreux pilotes aiment changer tel ou tel composant pour essayer autre chose ou bien acquérir le p’tit nouveau quitte à revendre du matériel n’ayant que quelques mois ou semaines à des prix très attractifs.
Toutefois faites attention à qui vous achetez et comment vous achetez. Une des meilleures solutions étant de vous inscrire sur des forums spécialisés ou des petites communautés là où les personnes se côtoient régulièrement ce qui diminue les risques d’arnaques mais le risque zéro n’existe pas !
Voilà, la boucle est bouclée …ou plutôt elle ne l’est pas et ne le sera jamais car tout évolue tellement vite qu’il est impossible de dire qu’un dossier est complet car à l’heure à laquelle j’écris ces quelques lignes des fabricants dans le monde sortent une nouveauté, un upgrade et c’est très bien ainsi.
Alors comme on dit souvent « à bientôt sur les pistes ! »
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